L’Australian Communications and Media Authority (ACMA) a le pouvoir d’imposer des restrictions de contenu sur le contenu d’Internet hébergé en Australie, et de maintenir une "liste noire" des sites Internet étrangers qui est alors prévu pour une utilisation dans un logiciel de filtrage. Les restrictions portent principalement sur la pornographie juvénile, la violence sexuelle, et d’autres activités illégales, compilé en tant que résultat d’un processus de traitement des plaintes des consommateurs. En 2009, l’OpenNet Initiative n’a trouvé aucune preuve de filtrage d’Internet en Australie, mais en raison de restrictions légales ONI ne teste pas le filtrage de la pornographie juvénile.
Les statistiques sont présentées pour ce groupe démographique
Électorat
Taux de réponse de 60.2k électeurs Gauche .
28% Oui |
72% Non |
13% Oui |
70% Non |
12% Oui, mais seulement pour empêcher la pédopornographie et violation de copyright |
2% Non, ne pas censurer ou de surveiller des données |
2% Oui, maintenir une liste des sites censurés et les FAI à conserver des données pendant deux ans pour les enquêtes de la police |
|
1% Oui, mais de permettre aux citoyens la possibilité d’utiliser un filtre internet financé par le gouvernement et ne nécessitent pas les FAI à conserver les données |
Tendance du soutien au fil du temps pour chaque réponse de 60.2k électeurs Gauche .
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Tendance sur l’importance de cette question pour 60.2k électeurs Gauche .
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